mercredi 8 février 2012

Prendre ses marques..

Mardi 7 février - 9h00

Grosse victoire : je me réveille ET me lève avant que le réveil ne sonne. Il faut savoir apprécier les petits combats gagnés. Prise de petit-dej rapide avec Benoît et on décide d'errer dans les environs, sans but précis. Oh, et tiens , on peut aller repérer le bureau de Jon Benediktsson, notre tuteur, avec qui nous avons rendez-vous jeudi à 8h30. Guide du routard en poche, on est parti.

Descendre Njarðargata, la rue de notre guesthouse, puis traverser un petit parc, ou Benoît a gentiment failli s'étaler, puis traverser une grosse route en mode parisien. ET BIM, on se retrouve devant les locaux du FBI selon moi, un bâtiment de la guerre froide selon Benoît, l'université d'Islande selon la carte :


Voilà donc où notre destin se jouera jeudi. Après ce trop-plein d'émotions, direction le nord, l'océan, et un bâtiment étrange sur la côte :




Comme on ne sait pas ce que c'est, on visite, c'est beau, c'est joli, on voit l'océan, il y a plein de stands de boissons, c'est quasiment vide. On apprendra en revenant à l'hôtel qu'on a visité Harpa : un endroit où se produisent des concerts et des conférences. Avec vue sur l'océan, oui monsieur. Après ça, nous sommes rentrés à la guesthouse par des chemins détournés, tantôt sous un crachin amical, tantôt sous une pluie hostile accompagnée d'un vent "je-te-colle-contre-un-mur-quand-je-veux".

On a croisé :

- Une maison nommée Gimli :



- Une allée de canards pour traverser une mare :


- Des jeunes qui émettent des cris étranges quand on les croise (mais j'ai pas osé prendre ça en photo)
- Du verglas
- Un supermarché qui n'aimait pas les français : La porte qui se referme quand on arrive, le caddie qui ne veut pas avancer, une bouteille de limonade achetée qui s'est avérée être de l'eau gazeuse, une caissière qui se barre au moment où on arrive. Bref, nous sommes des victimes.

Comme le vent soufflait et la pluie tombait dru, on a décidé de rester chez nous le soir. On est quand même pas mal au chaud, et on a tout le temps devant nous...



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